Portrait : Louis Delpire

21 février 2018

Louis DELPIRE
arrière gauche

Rencontre avec Louis : 1m90, 90kg, il est né le 7 décembre 1998

Tu joues avec quel numéro ?
Le 10. C’est mon numéro depuis que je suis tout petit et je n’en ai jamais changé.

A quel poste ?
Back gauche, de préférence.

Définis-toi en un mot.
Spontané.

D’où viens-tu ? Où as-tu grandi, où as-tu vécu ?
J’ai habité Kraainem, Nossegem et Everberg.

Que fais-tu dans la vie ?
Je suis étudiant à la KUL, en sciences économiques appliquées.

Comment en es-tu venu à faire du hand ?
C’est comme Obélix, je suis tombé dedans quand j’étais petit. Toute ma famille fait du hand, mon grand-père, mes oncles, mon père, ma mère. C’est d’ailleurs au hand que mes parents se sont rencontrés.

En quelle année as-tu commencé le hand ?
J’avais 4 ans.

Où as-tu joué avant d’arriver au HC Kraainem ?
J’ai toujours joué à Kraainem, sauf quand Kraainem n’existait plus, j’étais à Evere.

Pourquoi le HC Kraainem ?
C’est le club de ma jeunesse, et puis toute ma famille y a joué.

Le hand en un mot ?
Plaisir.

Ton meilleur souvenir de hand ?
Un match contre Ransart il y a deux ans, pour la finale LFH, c’est moi qui ai mis le goal de la victoire à la toute dernière seconde.

Ta principale qualité sur le terrain ?
Je suis collectif.

Et dans la vie ?
Ma bonne humeur.

Ton principal défaut sur le terrain ?
Je suis nerveux.

Et dans la vie ?
Je suis parfois trop gentil.

As-tu un grigri ? Un rituel avant de monter sur le terrain ?
J’aime bien avoir mon t-shirt « banquette » pour l’échauffement.

As-tu un talent caché ? Un hobby original ? Une passion bizarre ?
Pas vraiment. Je joue beaucoup à la Playstation. Sinon, j’ai aussi découvert récemment que j’étais capable d‘écrire un résumé de rencontre en cas d’urgence .

Que ferais-tu avec une baguette magique ?
Un retour dans le passé, je voudrais changer des trucs.

Jaune ou bleu ?
Bleu. J’aime bien le bleu.

La question de Bill : Delpire, c’est pas trop lourd à porter quand on fait du hand ?
J’y pense parfois et j’essaie de me comparer, mais ce n’est pas facile. Il y a toujours quelqu’un pour dire « Ah, Delpire ? Tu dois savoir jouer ». Ça me met la pression mais c’est chouette, c’est une pression positive qui me pousse à me donner à fond.